Utilisation des couleurs pour représenter l’intensité (VIH jaune qui se propage et qui s’intensifie, devient donc rouge et finalement noir pour représenter la mort)
Maladie dans l'oeil, vue de la cellule dans la pupille
Utilisation de lignes courbes pour représenter la déformation/destruction du corps (art symbolique)
Superposition de lignes courbes et de lignes droites
Sortir du concept de schéma scientifique et peut-être avoir des formes en 3D
Idée de fragilité de la biologie humaine : une seule malformation génétique pourrait causer une destruction en chaîne d’un état physique.
Donc, utilisation de couleurs pâles, qui suscitent la perception d’une pureté qui pourrait devenir macabre (opposition pâle et foncé ; noir et blanc)
Adaptation de la nature aux circonstances, idée de l’évolution de Darwin (un dégradé de couleurs pour représenter une adaptation d’un état original vers une métamorphose évolutionnaire)
Possibilité de jouer avec les tailles aussi pour accentuer cette impression de transition vers quelque chose de plus grandiose que l’état original
La taille pourrait aussi être attribué à l’impact qu’une cellule génétiquement erronée a sur la santé d’un être humain. Croissance des tailles = problème devient plus gros.
Utilisation de motifs qui se répètent pour représenter la cohérence retrouvée dans la vie. Les formes des organismes vivants ne sont pas une simple coïncidence, ils se répètent.
Intégration de cette proportion « parfaite » de la nature, qui est énergétiquement favorable.
Suite de Fibonacci
Proportion « parfaite » de 1 : 1,16 (pétales de rose, centre d’une fleur de tournesol, proportions « esthétiques » du visage humain et même d’autres organismes vivants (fleurs).